Course en ligne : Championnat régional de fond à Orléans

Le CKC Orléans et le Sully CK ont le plaisir de vous inviter au Championnat Régional de Fond monoplace 2022, qui se tiendra à la base de loisirs de l’Ile Charlemagne le dimanche 27 mars 2022.

Cette compétition sera qualificative pour les Championnats de France de fond monoplace et équipage qui se tiendront à Libourne les 9 et 10 avril 2022.

Les distances proposées sont :

    • 1000 mètres pour les benjamins/poussins
    • 3000 mètres pour les minimes
    • 5000 mètres pour les cadets/juniors/vétérans

Les horaires prévisionnels de la compétition sont :

    • 9h – distributions des dossards
    • 9h30 – briefing technique
    • 10h00 – début des courses jeunes et adultes
    • 13h00 – proclamation des résultats (jeunes)
    • 13h30 – reprise des courses adultes
    • 15h30 – open équipages
    • 16h00 – open paddle
    • 17h00- proclamation des résultats des courses adultes et open

Pour en savoir plus :  invitation Régional de Fond Orléans 2022

Un open de paddle sera proposé à 16h00, après les compétitions de course en ligne.

 

Entretien du « parcours slalom du pont Thinat », en bord de Loire

En attendant le retour des eaux plus tumultueuses, en cet après-midi du 28 novembre 2021, une douzaine de bénévoles motivés, issus des associations orléanaises de sport de pagaie ; à savoir  – l’ACKVL,  CKCO et l’USO –  ont donc bravé le froid pour remettre en état le site aménagé de slalom, dit du pont Thinat.

Composé de câbles tendus, et donc remis à neufs avec ces 16 portes (tubes suspendus), ce parcours a été réinstallé afin de permettre d’y pratiquer les entrainements de slalom, juste en amont du pont, dans un bras protégé.


Ce réaménagement permettra aux pratiquants jeunes et moins jeunes de s’entraîner tout l’hiver, sur un parcours un peu moins mouvementé que celui du pont Royal en aval .

Un site intéressant, en bord de duit, qui complète les différentes zones déjà présentes, en Loire et sur le rio de l’Ile Charlemagne, pour pratiquer le slalom.

Compétition de descente à Chinon, octobre 2021

Ça y est les compétitions reprennent !

Ce dimanche 17 octobre 2021, les jeunes et les moins jeunes compétiteurs du CKCO, ont participé à leur première course de l’année en bateaux de descente.
Le cadre était magnifique : la Vienne au pied de la forteresse royale de  Chinon.
Et pour clôturer la journée, chaque club a profité des pirogues polynésiennes (ou va’a) du Club de Chinon – Confluence Chinon Canoë-Kayak – CO.C.C.K- lors d’un Open de  « Défi Va’a ».

Un beau dimanche de courses, un équipe CKCO accompagnée de l’ACKVL et de l’USO.

Merci à tous les photographes pour les photos.

L’orléanais Rémy Boullé, licencié au CKCO, aux jeux paralympiques de Tokyo

Rémy est engagé dans les jeux paralympiques d’été  2020 de Tokyo qui se déroulent actuellement et ce jusqu’au 5 septembre 2021 .

Son CV sportif : athlete-BOULLE

Les séries commencent le 2 septembre 2021 à 9h30 – heure locale, soit à 2h30 en France. Les 1er iront en finale directement, les autres en demi, le lendemain, à la même heure. Les finales auront lieu le jour même – soit le 3 septembre à 10h30 – heure locale, 3h30 en France.

Les courses sont retransmises sur France TV.

Depuis sa 5ème place aux Jeux olympiques de Rio en 2016, Rémy s’est encore amélioré. Pour preuve, les dernières compétitions internationales auxquelles il a participé s’avèrent de bon augure, avec notamment, une 3ème en Coupe du monde  en 2020 et une 4ème place en 2021.

Son programme d’entraînement s’est clairement intensifié ces dernières années avec des saisons d’hiver à la Guadeloupe et le reste de l’année à Temple sur Lot, sous forme de stages avec l’équipe de France paracanoë, 2 à 3 semaines par mois.

Arrivé à Komatsu pour un « précamp » avant de rejoindre Tokyo, il est possible dès à présent de le suivre sur ses comptes  Instagram et Facebook.

Nous lui souhaitons de beaux Jeux, ainsi qu’à ses équipiers Nélia Barbosa et Eddie Potdevin, et bien sûr, des médailles seraient bienvenues !

Sortie Loisir Sully Chateauneuf

C’est curieux : pourquoi le joli mois de mai, qui compte presque autant de ponts que la ville d’Orléans, nous inflige-t-il toujours son ciel tristounet pendant ses journées chômées ? « Sauf, bien sûr, les années où nous sommes cloués à la maison en période de confinement…

En ce jeudi de l’Ascension, la météo invitait donc sans surprise à rester sous le plaid, pour terminer ce magnifique puzzle qu’une amie nous a offert, ou pour nous occuper de notre nouveau terrarium et de nos plantes vertes.

Mais Pierre nous avait conviés à une petite sortie « loisir » sur la Loire entre Sully-sur-Loire et Châteauneuf-sur-Loire, en remplacement du traditionnel « stage mer »(qui n’aura pu avoir lieu cette année ; COVID oblige).

Ainsi huit courageux se retrouvaient au club jeudi matin pour embarquer face au château de Sully, profitant comme d’habitude avec bonheur d’une petite leçon de choses avec Maître Pierre : l’eau trouble qui annonce une montée du niveau après les fortes pluies en aval ; le vol et les cris des sternes qui trahissent le stress de celles-ci, du fait que cette élévation de la Loire va coïncider avec leur première nichée de la saison ; plus loin, on aura pu observer des aigrettes garzettes, ces petits hérons blancs reconnaissables à leur cou replié en « S » en vol, quelques chevaliers cul-banc et deux balbuzards tournoyant au-dessus d’une probable proie repérée au sol.

C’est juste avant Saint-Benoît-sur-Loire que notre guide nous faisait découvrir un charmant rio abrité du vent, au bord duquel la pause pique-nique nous rassasiait et nous hydratait (très important !).

L’après-midi nous voyait enfin rallier Châteauneuf-sur-Loire après avoir « essuyé » deux averses rafraîchissantes.

OUVERTURE DU CLUB suite aux décisions gouvernementales

Si vous vous demandez si les dernières décisions gouvernementales vous autorisent à naviguer, la réponse est OUI !

Enfin si vous habitez à moins de 10 km de votre lieu d’embarcation ou si vous faites partie des publics prioritaires. Le club reste ouvert.


Le ministère des sports a communiqué aujourd’hui à ce sujet et le siège fédéral a relayé l’information. Vous pouvez retrouver les détails sur le site du ministère des sports ou sur celui de la FFCK. 


https://www.sports.gouv.fr/accueil-du-site/actualites/article/application-des-decisions-sanitaires-pour-le-sport-a-partir-du-3-avril

https://www.ffck.org/2021/04/03/mise-a-jour-des-mesures-sanitaires/

Les collégiens de l’établissement Saint Paul Bourdon Blanc à l’abordage !

Depuis le début de l’année scolaire 2020/2021, une convention, à l’initiative du CKCO et des enseignants du collège, a été signée entre le CKCO et le collège St Paul Bourdon Blanc. Ainsi les élèves de 5 ème bénéficient de séances de canoë pendant leurs séances d’éducation physique et sportive.

Clara, encadrante CKCO, expliquant les consignes de la séance


Dès octobre 2020, un premier cycle a permis aux jeunes de découvrir la pratique de la pagaie en Loire, à deux pas du collège, et ce, en toute sécurité. Les séances étaient encadrées par Ludovic – salarié du CKCO accompagné du professeur d’EPS.

Les collégiens ont pu s’essayer aux kayaks biplace d’initiation dits « sit-on-top ».

Au programme, des premières sensations à bord de canoë pour découvrir les bases de la direction et le maniement de la pagaie, et depuis le 10 mars 2021, un deuxième cycle a débuté sur le canal qui est redevenu navigable. Les jeunes ont pu s’essayer aux kayaks dits « sit-on-top ». Ils pourront bientôt découvrir, pour les plus à l’aise, sur des kayaks pontés (modèle plus instable) afin de travailler la vitesse et de parfaire leur technique de direction.

Sport de plein air, le canoë-kayak offre une fenêtre sur l’environnement ligérien et sa riche biodiversité, même en milieu urbain

Dans un contexte sanitaire compliqué pour les cours d’EPS, la pratique en plein air, et notamment celle du canoë-kayak s’avère être une véritable bouffée d’oxygène pour les collégiens (et leurs professeurs).

Sport de plein air, le canoë-kayak offre une fenêtre sur l’environnement ligérien et sa riche biodiversité, même en milieu urbain. Un projet pluridisciplinaire est d’ailleurs à l’étude avec un professeur de Sciences de la Vie et de la Terre pour la rentrée prochaine.


Les mines ravies des adolescents ne trompent pas : malgré la fraîcheur printanière, ils sont heureux et motivés pour enfiler leur combinaison et se lancer dans cette pratique sportive « qui change de d’habitude ».

Une quinzaine de collégiens poursuit même l’aventure le mercredi après-midi à l’école de pagaie

Une quinzaine de collégiens poursuit même l’aventure le mercredi après-midi à l’école de pagaie avec Ludovic sur la base de l’Île Charlemagne. De quoi susciter des vocations et prendre une licence au club les jeunes? Le CKCO vous attend et vous accueillera avec plaisir.

Randonnée sur la Conie – 20 mars 2021

Il faisait encore un peu frais ce samedi 20 mars, mais nous avons profité de l’organisation de l’ACKVL et du couvre-feu repoussé à 19h pour aller découvrir ou re-découvrir la Conie.

Cette rivière qui coule au cœur de la Beauce offre un décor improbable.

Des arbres asphyxiés à la suite d’un changement de niveau de la nappe phréatique de Beauce, des carex au milieu de la rivière qui poussent sur les souches d’arbres coupés… 

Une sortie conviviale, accessible à tous et à tout type d’embarcation.

Randonnée en Loire de Sandillon à Orléans – 27 février 2021

« 27 enthousiastes pagayeurs de tout bord »

Ce samedi 27 février, le Canoë Kayak Club Orléans a organisé une randonnée/descente de Loire, départ des bords de Loire au niveau de Sandillon et arrivée aux locaux du club, par le bras de Loire, le Rio, à la base nautique de l’Île Charlemagne.

Nous étions 27 enthousiastes pagayeurs de tout bord, confirmés et débutants, en canoë, en kayak, en paddle, en solo ou à deux, à profiter des conditions exceptionnelles que nous offrait ce weekend d’hiver ensoleillé.

Une agréable pause à l’écluse de Combleux

Les plus assurés s’amusaient du petit vent de nord-est qui créait un clapot joueur aux abords de Chécy, tandis que tous se laissaient porter par la brise et le courant après une agréable pause à l’écluse de Combleux.

La bonne humeur dominait largement avec un retour au club pour le couvre-feu de rigueur !

Agnès Legroux, nouvelle présidente du CKCO

Élue au dernier comité directeur du CKCO, Agnès Legroux va prendre les rennes de la présidence du CKCO à la suite de Nathalie Pesquet.

46 ans, pratiquante des disciplines du canoë kayak depuis 1987 (d’abord en slalom et descente puis, plus tardivement, en course en ligne). Agnès est médaillée aux Championnats de France de descente en canoë en 1995 et 1997. Elle est titulaire des diplômes de moniteur fédéral eaux vives et entraineur course en ligne en 1998.

Athlète de haut niveau sur liste ministérielle et membre de l’équipe de France de 2009 à 2020, d’abord en athlétisme puis en canoë kayak et représentante de la France en tant que finaliste aux Jeux Paralympiques de Rio en 2016.

Et « en même temps », Agnès est actuellement membre du Conseil Fédéral de la la Fédération Française de Canoë-Kayak et sports de pagaie (FFCK).

Il fait froid cette semaine de février 2021 ? Au CKCO, on s’adapte !

Nos jeunes adhérents de ce mercredi 10 février ont bien apprécié le changement de programme ! Et oui, un kayak, après tout, c’est fait pour glisser. Alors si la température n’est pas propice à aller sur l’eau, alors, allons sur la neige !

Sur l’eau, en dessous de 0°, la pratique est possible, mais il faut suivre quelques règles de bon sens

UN LICENCIE du CKCO doit TOUJOURS avoir un matériel adapté, TOUJOURS pratiquer à minima en binôme, TOUJOURS avoir un gilet de sauvetage – même en course en ligne sur le plat.

Un choc thermique – en cas de dessalage, ça pardonne pas… A bon entendeur !

Et puis, ce n’est jamais que partie remise, dans quelques jours, ce sera le retour du printemps, de l’eau plein les rivières.

Appel aux compétences !

Afin de pouvoir vous investir dans le fonctionnement du club, le comité directeur organise une rencontre le vendredi 11 décembre 2020 à 18h30 au club.

Si vous avez des suggestions pour le fonctionnement, la vie du club c’est l’occasion d’en faire part. Venez avec vos propositions !


Toutes les personnes ayant des compétences dans les domaines suivants et souhaitant s’investir dans le fonctionnement de l’association sont conviées à cette rencontre. Il est donc attendu des compétentes en (la liste n’est pas exhaustive) :

  • Gestion administrative : comptabilité, montage de dossiers … etc ;
  • Gestion des ressources humaines
  • Communication : rédaction d’articles pour le site web, réalisation de flyers, photos, vidéo… etc ;
  • Organisation de sorties : (pour le loisirs, la compétition… etc;
  • Entraînement : perfectionnement pour le slalom, descentes, CEL, paddle ;
  • Réparations : compétences en soudure, mécanique, matériaux composites, électricité … etc.

L’objectif est de créer des binômes ou des petits groupes affectés à des tâches bien définies sous la responsabilité d’un membre du comité.

Notre prochaine assemblée générale est prévue le 6 février 2021 (date à confirmer) : 4 postes seront à pourvoir. Ce sera donc également l’occasion d’échanger sur les missions du comité et de « stimuler » de nouvelles candidatures.

Championnats de France de marathon – 10 et 11 octobre 2020 à Redon : 2 titres nationaux pour Orléans

Agnès Legroux et Antoine Martin(K2 dame paracanoë -3 tours, 2 stops) : Champions de France 2020

Olivia Larivière (K1 dame sénior marathon -7 tours, 6 portages) Vice-championne de France 2020

Un championnat de France 2020 de marathon, maintenu lui aussi, sur les bords de la Vilaine, et qui a accueilli les spécialistes de la longue distance. Près de 400 compétiteurs, répartis dans 73 clubs, sont venus clôturer cette bien étrange année sans sélections préalables.

Le CKCO a été représenté dès le début de la compétition par Agnès Legroux et Antoine Martin en paracanoë. Puis à 13h00, Stéphane Loigerot, en vétéran 3 (18 kms) et à 15h30, Olivia Larivière en sénior (26 kms).

Un bassin spacieux et assez venté, un ciel plutôt clément (le samedi) où les compétiteurs ont enchainé boucles et portages, le nombre variant selon leur catégorie. Une organisation bien ficelée. A une semaine près, la tempête rendait l’évènement impossible, le site d’accueil était inondé.

Une discipline pourtant « spectaculaire », puisque l’enchainement des portages rythme la course et offre un spectacle animé, assez technique quant aux portages, et surtout favorable au soutien du public.

Crédit photo : Jérôme Mathon

Et la médaille d’or pour les organisateurs, à tous les bénévoles, à tous ces vrais passionnés qui mériteraient amplement bien des médailles et des applaudissements, même si ils ne les attendent pas. Ils permettent, souvent à bout de bras, sans gros sponsors, le maintien de ces évènements « de la longue distance », compétitions ou non, crise sanitaire ou pas, et ainsi font survivre cette petite famille du marathon français. Sans eux, pas de courses, pas de médailles, pas de champions.

Crédit photo : Jérôme Mathon

Agnès Legroux et Antoine Martin : Champions de France (paracanoë biplace)

Olivia Larivière , vice-championne de France (sénior dame)

Stéphane Loigerot : 5ème en vétéran 3

COVID 19 – Mesures exceptionnelles au CKCO

Des mesures nationales importantes ont été prises pour limiter la propagation du virus covid 19.

C’est pourquoi le championnat régional de fond et le challenge jeune de ce dimanche 15 mars 2020 ont été annulés.

En attendant de pouvoir programmer une nouvelle manifestation et dans le but d’éviter les rassemblements favorisant la transmission du virus, le bureau du CKCO a pris les décisions suivantes :

– fermeture de l’école de pagaie du mercredi et du samedi après-midi

– arrêt des séances encadrées du samedi après-midi

– arrêt des séances de piscine (décision Ville d’Orléans)

Et ceci jusqu’à ce que les conditions sanitaires permettent leur reprise.

Nous vous tiendrons au courant si d’autres mesures restrictives sont imposées par notre fédération. Nathalie

ANNULE – Orléans- Ile Charlemagne – 15 mars 2020 – Organisation CKCO des championnats régionaux de fond + challenge jeunes

La journée du 15 mars 2020 va nécessiter la mobilisation d’un ensemble de personnes. Voici une liste des principales tâches, fonctions et matériels nécessaires ce jour-là.

Si vous avez d’autres idées et/ou si vous souhaitez prendre une des places non pourvues, merci de contacter Olivia – responsable number one – de l’évènement.

Organisation générale

  • Responsable de la journéeOlivia
  • Responsable compétiteurs CKCO : Thierry
  • Responsable logistique du site (Prévision et mise en place signalétique, Création du plan du site,…) : Patrick
  • Responsable buvette : Véronique
  • Responsable dossards/plaquettes : 1 personne

Sécurité

  • Bateau à moteur : Ludovic + 1 p.
  •  Canoë sur l’eau : 2 p. (Roulement à prévoir)

Logistique

  • Informatique : Agnès +1 p.
  • Juges virages (sur l’eau et/où sur le bord): 3 p. (Roulement à prévoir pour les personnes sur l’eau)
  • Départ : 2 p.
  • Arrivée : 4 p. (2 chronos + 2 scribes)
  • Speaker : 1 p. 

Communication : 

  • Drone : 1 p.
  • Photos : 1 p.

Moyens matériels à prévoir : 

  • Crêpes, gâteaux, boissons,… 
  • Rallonges, multiprises, Chronos, Thermos, Machine à Café gros volume, crêpières 

Participer à la vie de l’association !

Des emplacements à respecter

Qu’on se le dise, le CKCO est une association : le club fonctionne grâce à l’implication de bénévoles.

Ce club est le vôtre, prenez en soin !

Bien rangé et propre, c’est mieux non?
  • Etre adhérent au CKCO, c’est avoir la possibilité de contribuer à la vie du club par un ensemble de d’actions spontanées, de coups de mains, de petits gestes.

Être un adhérent actif, cela ne tient qu’à vous !

Donnez un peu de votre temps (même quelques minutes si vous ne pouvez plus, c’est toujours ça !) en plus de votre sacro-sainte séance : personne ne vous le demandera, alors prenez l’initiative comme vous le feriez pour votre ‘chez vous’ !

Un petit coup de balai ou un peu de rangement, c’est facile, c’est rapide et cela bénéficie à tous ! (taille des arbustes – décembre 2018 et nettoyage des escaliers – juillet 2019)

Partageons ces tâches nécessaires à la vie d’une association sportive.

  • Avant, ou après votre séance, un petit coup de balai dans le local en bas, cela prend 2 minutes …
  • Un peu de rangement des casques ou gilets, c’est juste normal, non?
  • Un rinçage systématique à l’eau claire des kayaks couverts de sable, c’est nécessaire...
  • Vider les poubelles ou faire un tour pour voir ce qui traîne, cela doit être un réflexe de tous
Un coup de pinceau ! Cela ne prend que quelques heures, et c’est tellement mieux après (mars 2019)

L’hiver, la belle saison !

Bonnet obligatoire !
  • Une Loire qui monte, qui monte (allez voir dans les liens utiles du site, vous pouvez suivre le débit en temps réel) ;
  • Un rio (vous savez, le petit bras de Loire qui passe devant le club) qui réapparait ;
  • Le Loiret qui se débarrasse de ses plantes aquatiques de surface ;

Autant de terrains de jeu qui, l’hiver, prennent une toute autre dimension : un immense terrain d’exploration qui s’ouvre à nous à nouveau !

Canal de Briare – novembre 2019

Jouer avec le courant, découvrir de nouveaux espaces et de nouvelles ambiances, expérimenter de nouvelles embarcations (et si vous profitiez de cet hiver pour essayer le kayak de descente ?).

On n’a pas envie de toute façon… (Meung sur Loire -décembre 2019)

De l’ouest à l’est d’Orléans, les sports de pagaie vous permettront d’explorer des milieux variés et riches.

Fin d’entraînement – Ile Charlemagne – mars 2015

Alors, équipez-vous chaudement (demander conseil si vous ne savez pas quoi prendre), prenez une petite dose de courage pour vous lancer : on vous promet que vous allez aimer l’hiver sur l’eau avec le CKCO.

Bravo les pagaies jaunes !

Félicitations à Alain, Geoffrey, Nathalie, Luan et Loïc, qui viennent de passer avec succès leur pagaie jaune et merci à Clara de les avoir accompagnés vers cette belle réussite.

Maintenant, ils vont pouvoir découvrir les vagues, les courants et contre-courants, la gîte, les reprises, les bacs, les stops, les appuis !

Nous leur souhaitons beaucoup de plaisir à naviguer sur la Loire en compagnie du CKCO.

A très bientôt sur l’eau !

Orléans – 28/29 septembre 2019 – sélectif régional de slalom

Pour rappel, ou explication, chaque journée de compétition de slalom comporte 2 manches qui  comptent comme une compétition à part entière : la première manche est appelée « Qualifications » et permet de créer une « Finale A« , puis une « Finale B » lors de la 2ème manche pour les catégories avec de nombreux compétiteurs.

Virginie before the start

La catégorie K1H (kayak monoplace homme), par exemple, regroupe l’ensemble des cadets au vétéran 5.

Le samedi nous avons profité de conditions climatiques tout à fait satisfaisantes. Le dimanche, la pluie et le vent se sont invités rendant le parcours plus délicat.

Voici les résultats des slalomeurs qui ont représentés le CKCO sur le week-end :

Cat.NomQualif
(sam)
Finale B
(samedi)
Qualif
(dim.)
Finale B
(dim.)
K1HM Gabin Rocquet 93
K1H Dylan Mazier Wing 4420
K1H Patrick Hervet 4215
K1D Virginie Picault 5555
K1H Pascal Willano 289326

Virginie Picault et Pascal Willano se classent N3 – Bravo !

Juge au pied du pont Royal

La compétition organisée par l’ACKVL était à la hauteur de l’évènement, et fort sympathique (comme d’habitude!).

Nous tenons à remercier Eric Touvignon qui a officié en tant que juge pour notre club.

Séances club et encadrement

Le club propose des créneaux encadrés les mercredi après-midi et les samedi matin notamment. Ces créneaux sont pris en charge par des salariés ou des bénévoles diplômés.

Chaque discipline est représentée par un référent. Si vous souhaitez pratiquer, essayer un type d’embarcation, prenez contact avec ces personnes qui vous donneront les conseils et l’encadrement nécessaire.

 

 

 

Course en ligne – Championnat de France de marathon – Temple sur Lot – 16 et 17 septembre 2022

Un bassin bien connu dans l’univers des sports nautiques que le bassin du Temple sur Lot pour accueillir les championnats de France de marathon  2022, ou plusieurs centaines de compétiteurs ont été réunis en un lieu parfaitement calibré pour un tel évènement, avec une organisation rodée et sans accrocs. Des joutes nautiques dans la petite cité templière.

 

Un rivière Lot suffisamment large pour offrir de belles lignes de départ, un portage positionné en contrebas du centre nautique permettant une participation du public, bref un lieu vraiment intéressant.  Les orléanais ont été représentés par des compétiteurs sélectionnés sur les sélections régionales précédentes.

Des distances différentes selon les catégories , de 19 kms à 26 kms (en réalité des tours et des portages selon les catégories ).

Les résultats ont été les suivants :

  • Olivia Larivière , Médaille de bronze  en sénior
  • Stéphane Loigerot, 10ème en vétéran 3
  • Patrick Vaux 18ème en vétéran 5
  • Agnès Legroux / Antoine Martin, 5ème en K2 mixte vétéran

 

 

Course en ligne – Championnat régional de fond à Bourges – 22 octobre 2022

Une bien belle journée pour accueillir ce championnat régional de fond (5000 mètres) sur un bassin parfaitement calibré pour ce type de format de course. Une délégation importante du CKCO a fait le déplacement, 18 embarcations engagées, preuve d’une vraie envie de faire honneur à cette discipline qu’est la course en ligne. Des jeunes et des moins jeunes ont, en monoplace ou comme ci-dessous en équipages,  expérimentés cet effort soutenu de près d’une demi-heure.

Les résultats individuels sont les suivants :

  • Constance Montoir, médaille d’or en K1 Dame Minime 1 (2000 m)
  • Juliette Asselin, 5ème en K1 Dame Minime 1 (2000 m)
  • Andréa Bruniquel, médaille de bronze en K1 Dame Minime 2 (2000 m)
  • Luan Merlet, 11ème en K1 Homme minime 1 (2000 m)
  • Raphaël Pietu, 12ème en K1 Homme minime 1 (2000 m)
  • Stéphane Loigerot, médaille d’or en K1 Homme vétéran M45 (5000 m)
  • Xavier Montoir, médaille de bronze en K1 Homme vétéran M45 (5000m)
  • Loïc Merlet, 5ème en K1 Homme vétéran M45 (5000m)
  • Patrick Vaux, médaille d’or en K1 Homme vétéran M55 (5000m)
  • Patrick Hervet, 3ème en K1 Homme vétéran M55 (5000m)
  • Antoine Martin 4ème en K1 Homme vétéran M55 (5000m)
  • Olivia Larivière, médaille d’argent en K1 Dame senior (5000 m)
  • Agnès Legroux, médaille de bronze en K1 Dame vétéran M45 (5000 m)
  • Flore Montoir, 5ème en K1 Dame vétéran M45 (5000 m)
  • Mathis Pitet, 9ème en K1 Homme cadet (5000m)
  • Thomas Censier, 12ème en K1 Homme cadet (5000m)

Marathon de l’Ardèche 2021

Samedi 11 Septembre 2021, nous finissons en relais – avec ma coéquipière Nathalie, la Dordogne intégrale – fatigués mais fiers, après 12h10 de navigation. Le WE suivant, à peine remise de sa fatigue, elle me demande si je suis d’accord pour faire le Marathon International des Gorges de l’Ardèche en K2 (date prévue le 13 Novembre 2021). Je réfléchis une petite semaine et, quand même un peu inquiet, je lui dis « banco ». Elle m’assure que les trains de vagues ne sont pas pires que sous le pont royal. Tu parles.

Le projet se met en place sous la coordination de notre présidente Agnès, qui, enthousiaste et efficace comme d’habitude, bat le rappel. Au final cinq équipage K2 (Nadine et Samuel, Christophe et Clara, Patrick et Eric, Vincent et Antoine, Nathalie et Eric) et un K1 (l’inusable Pascal B.) vont participer. Petit problème, il faut remettre en état des K2 dit « Loire », 3 bateaux en fait, qui sont mal accastillés et bien poussiéreux. Une équipe de réparateurs, préparateurs, décorateurs intervient, Vincent, Thierry, Nadine, Samuel, passent des heures à faire des chandelles en Styrodur, colmater des fissures sur la coque, monter des cale pieds, mettre des gonfles.

Le samedi précédent le départ, tout ce petit monde se retrouve à descendre sous le pont royal pour tester les réflexes et la coordination des équipages. Ça passe. De notre côté, avec un K2 mer, cela fait plusieurs semaines que nous y allons sous le pont, ou nous enchaînons reprises et gite dans les contres.

Vendredi 12 Novembre, Rendez vous à 8h30 au club pour charger la remorque. Tous arrivent avec un barda conséquent ; c’est qu’elle est froide l’eau de l’Ardèche en Novembre, il faut se couvrir. Chargement des bateaux sous l’œil expert de Pat, et le dynamisme de Thierry.  9h15 l’équilibre de la remorque est validé, le moteur du Traffic vrombi, nous embarquons direction l’A71 et Clermont Ferrand. Une décantation naturelle s’est faite sur les trois rangées de sièges, les plus expérimentés devant, les bleus (Samuel et moi) derrière, et Clara au milieu des 7 gars.

Premier arrêt pour déjeuner, le temps est au beau, chacun raconte ses souvenirs de telle ou telle descente. Clara fait découvrir aux « vieux » la musique de 2021. Certains disent que c’est de la « soupe ». Eric nous fait profiter de sa playlist de rebelle, et occasionnellement fait le guide touristique des villages et paysages traversés. En totale improvisation. Le puy en Velay passé, c’est la descente sur Aubenas à partir du col de la Chavade (1266 m) en suivant l’Ardèche.

Le paysage est à couper le souffle, minéral, abrupt, rugueux, mordoré, les virages de la N102 s’enchaînent, pourvu que les freins tiennent le coup. Personne n’est malade.

Arrivé vers 17 heures au premier gite à Ruoms, dépôt de la remorque, on file sur le second gite, chacun décharge ses affaires et choisi sa chambre.

La nuit est tombée, direction Vallon Pont-d’Arc pour les inscriptions, puis retour au gite. Dernier repas ensemble avant l’épreuve, des pâtes bien sûr, sauce Bolognaise, quelques bières, un petit vin rouge du cru, très bonne ambiance.

Le lendemain matin, on sent une petite tension, certains ont mal dormi, d’autres mal digérés, ça vanne moins, ça fait moins les malins. Surtout il ne faut rien oublier au niveau de l’équipement, tout à l’heure ça va secouer. 9h30, départ, pour Vallon pont d’Arc, le départ sur l’eau est à 11 heures. Après une petite escapade dans la nature, Agnès nous ballade, on se pose à Salavas. Déchargement des bateaux, chacun s’équipe, on ressemble un peu à des cosmonautes, on prend des photos pour se souvenir de cette équipée, la tension monte encore d’un cran. 10h30, on embarque en contrebas, juste après la digue. Je monte dans mon bateau, Nathalie est déjà installée, j’ai du mal à mettre ma jupe, en fait je tremble comme une feuille. Le bateau part dans le courant, trois coups de pagaie pour éviter le premier gros caillou, les réflexes reviennent, la sérénité aussi. On se cale dans un contre de la rive droite pour attendre l’heure se s’élancer, nous voyons trois autres équipages du CKCO positionnés rive gauche. Nous avons tous décidé de laisser partir devant les fous furieux de la glisse, dont Pascal en fait partie. Un speaker s’égosille pour faire respecter le départ, ça y est, on s’élance.

Quel plaisir ! Des dizaines de bateaux, des sourires, des regards, des pagaies qui s’envolent, à l’unisson pour les K2.

Quelques kilomètres assez tranquilles puis apparait le joyau de la rivière, le pont d’Arc, une voute naturelle creusée dans le calcaire au fil des millénaires. Mais c’est aussi la première difficulté, un petit rapide qui cache quelques gros écueils. Le bateau touche. On passe, c’est le début des gorges. Des trains de vagues dans les virages qui nous secouent sans ménagement, des contres aux contours fluctuants. Heureusement qu’on est allé passer du temps à giter au pont Royal, car il y a de quoi finir écraser contre la falaise, ou se retourner pour faire trempette. Nathalie en première position en prend plein la figure, et moi plein les mirettes. On prend confiance, on appuie plus sur les pagaies pour sortir des zones de turbulences, surtout ne pas laisser le courant diriger le bateau.

Un gros bloc coupe la rivière en plein milieu, à droite ? à gauche ? à droite les bateaux pris dans le contre s’empilent en travers du courant. A gauche toute. Devant nous l’autre K2 mer du club s’éloigne doucement, c’est Patrick et Eric, les vieux briscards, les gilets verts. Derrière, les trois K2 Loire, que nous avons perdu de vue. Pendant quelques kilomètres nous suivons un chien perché sur une plateforme attachée à l’arrière d’un kayak. Il n’a pas de gilet de sauvetage, et même pas peur. On ravitaille en vol, l’un s’alimente ou boit, l’autre pagaye. On ne fait pas la course, mais comme on voir toujours les deux gilets verts loin devant nous, on se dit qu’on n’est pas si mauvais. Le spectacle est grandiose, des falaises grises, blanches, ocres même sous le soleil, des crêtes et des pitons qui se découpent à l’horizon. Quand Nathalie regarde à gauche, le bateau part à gauche. Et puis au bout de 20 bornes, le bateau des gilets vert fait une pause, on arrive à leur hauteur, ils repartent, un rapide, un étranglement, ils nous abordent comme au temps de la piraterie mais tout le monde passe. Plus dangereux que rapide me dit une petite voix.

Enfin, déjà, la sortie des gorges, le plat, devant nous un kayak de descente de modèle wavehopper drivé par une petite avec une pagaie canoé, nous ne la rattraperons jamais. Elle finira 10 secondes devant nous. Bel exploit. Sur la berge de Saint Martin d’Ardèche, cela grouille de monde, de drapeaux, en plein soleil. Magnifique, retour à la civilisation. Pascal est sur le bord, arrivé depuis une bonne dizaine de minutes, il nous encourage, nous aide à sortir le bateau, nous félicite. On est heureux. Finalement, le bonheur c’est simple comme 2 heures 32 d’efforts partagé au rythme des coups de pagaies dans l’eau.

Les équipages arrivent les uns après les autres, on s’inquiète un peu du bateau manquant à l’appel, mais les grandes expéditions ne se sont jamais faites sans aucune perte. Heureusement, alors que nous nous sommes changés, ils arrivent à bon port, après bon nombre d’infortunes dû à une mauvaise étanchéité. On flâne un peu sur les quais ou trônent des vendeurs de saucissons et de châtaignes, puis rembarquement des bateaux sur la remorque, direction les gites (de très gentils chauffeurs, Agnès et Thierry) ont fait la navette). Le soir, dans le gymnase de Vallon, tirage de la tombola (grand moment d’émotion pour Thierry), remise des prix (un peu chip), paella bien revigorante, et retour au bercail pour la nuit.

Le lendemain, il pleut sur la route du retour, peu importe, nous avons vécu un drôle de bon moment, nous pensons déjà à l’année prochaine, et je suis maintenant assis au deuxième rang du camion.

Eric L.